Une heure de ferveur – Muriel Barbery – sélection Goncourt 2022

Haru, à l’article de la mort, revient sur ses cinquante années passées à Kyoto.

Issu d’une famille modeste des montagnes, il fait fortune dans la vente d’œuvres d’art. Il devient un expert incontournable.

Il collectionne les conquêtes féminines, mais s’entoure aussi de nombreux amis sincères.
L’une de ses conquêtes françaises se retrouve enceinte de lui. Elle lui interdit d’essayer de connaître l’enfant sous peine de se suicider, puis part en France.
Haru obéit mais fait observer sa fille et la regarde grandir puis devenir une adulte à travers des photos.

Lui et ses amis, pendant ses années, connaissent des joies et surtout des drames.

Je me suis tellement ennuyée pendant les 80 premières pages que je ne comprenais rien. J’ai recommencé le livre, pour m’apercevoir qu’il n’y avait rien de plus à comprendre.

Le début m’a semblé être un bavardage japonisant, où se mêlent philosophie, poésie et vocabulaire ciblé pour « faire » japonais, rendant le tout assez artificiel.
Ça ne m’a pas plu, mais je dois reconnaître à l’autrice un travail important pour nous plonger au Japon, à la manière des auteurs japonais. L’exercice littéraire est loin d’être simple.

Après une centaine de pages, le rythme s’accélère, les événements s’enchaînent, on se perd dans la multitude de personnages…

Je suis allée au bout sans grand plaisir. Je ne suis pas le bon public pour cette littérature, il vous faudra vous faire votre avis.
S’ajoute à cela que le mot « saké » est répété huit-mille-six-cent-soixante-douze-mille fois et… je déteste le saké !

Tchin !

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