“Ne m’oublie pas”, Alix Garin, 2020, Le Lombard

Mamycha est en EHPAD et Clémence, sa petite fille, souffre, dents serrées et lèvres pincées, de voir sa grand-mère se détériorer. La mémoire flanche, la camisole chimique est lancée.

Il n’en faut pas plus à Clémence pour accomplir cet act fou: kidnapper sa Mamycha pour l’emmener là où elle rêve de retourner: sa maison d’enfance.

On sait très vite que l’aventure a mal tourné, car dès le début Clémence est interrogée par les gendarmes.

C’est tendre, beau, drôle. La construction narrative faite de flash-back est parfaitement maîtrisé et haletante.

Le coup de crayon est cocasse et minimaliste, agrémenté de couleurs pastels, rendant le tout terriblement harmonieux.

Qu’est-ce que j’ai aimé cette BD! Qu’est-ce ce que j’ai aimé Mamycha et Clémence 💞!

Encore un récit qui me conforte dans ma décision d’avoir sacrifié quelques projets pour avoir ma maman, juste là, dans mon jardin, au bout de l’allée herbeuse.

À lire!

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