P.11 : « Je sais bien qu’on ne doit pas commencer un livre comme ça, comme je le fais. »
P.24 : « Aux Açores (puisque nous en étions là avant ces digressions qui seront je le pressens la matière même du livre […])
P.115 : « (je sens que je perds des lecteurs) »
Monsieur Rolin se raconte pendant 301 pages. Un tiers de ses propos est entre parenthèses. Un autre tiers n’est que digression au milieu d’un paragraphe. Le dernier tiers de sa prose est un galimatias de voyages incompréhensibles .
Je m’interroge : pourquoi Gallimard publie-il un tel bouquin ? Pourquoi figure-il sur la liste des goncourables ?
Excusez-moi Monsieur Rolin, avec tout le respect que je dois à un auteur, au regard travail fourni pour écrire un livre, je suis scandalisée que ce livre ait été publié, soit vendu 20€ et prenne la place d’un autre roman sur la liste de ce prix prestigieux.