Mois de la littérature libanaise Zeina Abichareb est née à Beyrouth et a passé une partie de son enfance confinée dans l’entrée de l’appartement familial avec son petit frère, ses parents et les voisins de l’immeuble. Il faut avoir les nerfs bien accrochés pour supporter Lire la suite...
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Mois de la littérature libanaise Le narrateur est obsédé par l’Israël. Plus on lui dit que lui, le Libanais au passeport français, n’a rien à faire en Israël, ne sera pas le bienvenu, plus il a envie de s’y rendre. Il passe finalement le cap Lire la suite...
Mois de la littérature libanaise Quatre-vingt-seize. C’est le nombre de pages qu’il faut à Camille Ammoun pour écrire cette rue parallèle au port qui part d’une gigantesque décharge à ciel ouvert et finit dans le « centre-vide » de Beyrouth. Quatre. C’est le nombre de kilomètres sur Lire la suite...
Mois de la littérature libanaise Les Naggar sont originaires de Syrie, ont fui l’Égypte et se sont installés à Beyrouth pensant poser définitivement leurs valises. Ils aiment profondément ce pays et cette ville, y coulent des jours paisibles dans les années 60. Les troi enfants Lire la suite...
Charlie perd sa mère très jeune et doit vivre avec ce père aveugle qu’il ne connait, pas dans les quartiers pauvres de Chicago. La complicité se tisse entre le père et le fils au fil des ans, mais à l’adolescence, Charlie tombe dans la délinquance, Lire la suite...
Il est veuf en quête de compagnie, elle est une jeune migrante affamée. Ils se blottissent dans ce tram obscur qui les emmène vers la pénombre d’une chambre où chacun obtiendra ce qu’il désire le plus. Mais rien ne se passe comme prévu. Au fond Lire la suite...
Un siècle s’écoule entre l’accident terrible qui causera la mort d’Armand et la visite d’Antoine, l’arrière-petit-neveu, sur cette tombe d’un enfant de cinq ans. Un siècle en moins de deux cents pages. Des joies, des naissances, des abandons, des départs à la capitale, des retours Lire la suite...
Le Liban est un pays que je connais mal. Suite à la catastrophe qui a touché Beyrouth le 4 aout dernier, j’ai suivi Maeve du blog Mille (et une) lectures de Maeve dans son initiative d’un mois de la littérature libanaise. Voici ma sélection. N’hésitez Lire la suite...
Voici mes coups de coeur ultimes dans chaque catégorie: Roman… « Borgo Vecchio » de Giusepè Calaciura, pour l’élégance de sa plume et le thème abordé; BD… « Moi ce que j’aime c’est les monstres » d’Emil Ferris, pour son originalité artistique et la construction de son récit; Audio… « Novecento Lire la suite...
Entrer dans l’univers de Matt Kindt c’est entrer dans le délirant, le violant, le paranormal, le conspirationnisme et surtout… le génie créatif! Rédiger une accroche pour ce premier tome est mission impossible (surement un coup du Mind Management ça!…) et je défie quiconque d’y arriver. Lire la suite...
Janvier 2020. Mila, 16 ans, est draguée lourdement sur son compte instagram par des gars musulmans de son âge. Elle les rembarre, leur dit qu’elle n’est pas intéressée, qu’elle aime les filles. Ils insistent, ramènent leurs copains, les insultes homophobes au nom de l’islam pleuvent, Lire la suite...
Sarah Sauquet fait partie de ces femmes inspirantes, à l’énergie débordantes, autrice, professeure, féministe, amoureuse de la belle littérature. Ses applications sur smartphone m’ont reconnectée aux classiques et à la poésie. Son application Une femme Un jour m’amène régulièrement vers d’autres femmes inspirantes. Son anthologie Lire la suite...
Maya Angelou écrit une longue lettre à la fille qu’elle n’a pas eue. Une longue lettre à toutes les filles et femmes du monde, offrant un condensé de son expérience de femme noire étasunienne et des leçons qu’elle a pu tirer de cette expérience. Après Lire la suite...
Une terrible pandémie a ravagé l’humanité et contraint une famille à se replier en pleine forêt dans leur « refuge ». Ils vivent de chasse, font pousser quelques légumes et le père mène régulièrement des expéditions en ville pour leur apporter de quoi survivre, ravivant parfois, par Lire la suite...
« Pour en finir avec l’anthropocentrisme ». De la pêche artisanale aux safaris-chasse en passant par les delphinariums, la domestication des animaux ou les rituels sacrificiels, Jean-Marc Gancille décortique tout. Nous sommes une espèce génocidaire. Génocidaire parce que « anthropocentrée ». L’espèce humaine est persuadée d’être dans son droit Lire la suite...