Mois de la littérature libanaise Quatre-vingt-seize. C’est le nombre de pages qu’il faut à Camille Ammoun pour écrire cette rue parallèle au port qui part d’une gigantesque décharge à ciel ouvert et finit dans le « centre-vide » de Beyrouth. Quatre. C’est le nombre de kilomètres sur Lire la suite...